Je rentre à l'hosto pour une grave opération
Est-il bien vrai qu'avec moi tu veux vivre,
Qu'un doux penchant m'a nommé ton vainqueur ?Est-il bien vrai que du feu qui m'enivreUne étincelle a passé dans ton cœur ?Non, ce n'est point un aveugle délire :Je suis aimé, tes lèvres me l'ont dit.Dans tes regards, où les miens ont su lire,En traits de feu mon bonheur est écrit.Mon chérie ! Moitié de moi-même !Ange d'amour ! ange qui m'as charmé !Redis-le-moi ce mot sacré !Enivre-moi du bonheur d'être aimé !Aimé de toi ! vivre au fond de ton âme !De mon image occuper ton réveil !Et quelquefois, dans un songe de flamme,D'un doux prestige agiter ton sommeil !Contre mon sein frémissant de tendresse,Presser ton sein de plaisir palpitant,Et savourer, plein d'une double ivresse,Un siècle entier dans un rapide instant !Comme une rose épanouie à peine,Pour me nommer voir tes lèvres s'ouvrir,Et sur ta bouche, éperdue, hors d'haleine,Sentir mon âme, et trembler, et mourir !Ah ! ce bonheur qu'aux dépens de ma vieAuraient payé ma constance et ma foi,Dieux immortels ! que l'on me porte envie...Ne soyez pas jaloux... ce bonheur est à nousLa nuit descend doucement ...
Sur notre amour...Qu'il est doux de rêver...Qu'au bout de ton océan....Tu me diras '' Je t'aime ''...Cette nuit en t'endormant...Toi, mon ultime rêve...À la douceur d'une nuit qui s'achève...Envie de toi tellement fort...Désir sublime....que tu sois dans mes bras...Comme si on faisait l'amour...Dans une chair virtuelle...Je connais tous tes secrets...Juste à entendre le son de ta voix...Mais je ne peux malheureusement...Que rêver à la sensation de tes mains...Posées sur moi...Tu m'as murmuré ....Des milliers de mots suprêmes...Mais je n'ai jamais pu voir...L'éclat de tes yeux...À cet instant même ...Ou tu me dis ... je t'aime...Je peux me griser de ta voix...Des heures et des heures...Mais quand vient le moment...D'aller dormir... seul sans toi...J'ai peur et j'ai froid...Je ferme l'ordi... et...C'est en silence...Que je t'espère et te pleure..Toi, dans un samedi d'automne;Avec un simple baiser à conquis mon coeur,A changer ma vie d'un ton monotone,Et me fais vivre le bonheur!Aujourd'hui, malgré les interdits,Et le distance "Je t'aime"Je rêve, avec toi de faire ma vie,Et comme pour Quasimodo être ta bohème!Le matin, je pense à toi,Et toute la journée, j'ai envie d'être dans tes brasMes pensées et mon coeur sont à toi,Ma vie ne rime à rien sans tes bras!Depuis, que tu es entré dans ma vie,Tu me fais découvrir la vie en rose,Et à fait renaître mes rêves et mes enviesMon coeur devant toi, est en pause.Tu m'es plus précieux que l'or,Je te veux pour l'éternité.Je t'aime, je t'adore,Et me comble de ta gentillesse et ta beauté.
Subtilité, et émotion
Entourant le mont de l'envieQuand se dresse ce petit tétonQui sous la langue réagitVenir sur la peau déposerQuelques gouttes d'humiditéAlors que contre le palaisOn vient lentement le sucerDresser si dur, qu'on sent partirVers le ventre des éclairs de feuDe sa main venir le pétrirLe mordiller encore un peuLe mamelon se fait chaleurComme un bébé vient à téterOn le prend en bouche quel bonheurEntre ses lèvres à le pincer
Une petite absence suite à une courte hospitalisation pour des examens
La nuit dépose un voile de velours
Sur un lit fait de soie et de satinS'empare de nos corps, de notre amourEt les enlace jusqu'au petit matin.Et je réinvente pour toi des motsQue tu ne peux lire sur mes lèvres,Qui se perdent sur l'ambre de ta peauEt dans l'émoi de nos corps en fièvre.Longtemps dans la Solitude j'ai erré ...Sans jamais personne a qui pourvoir me confierDures et nombreuses déceptions que j'ai connues,Me laissaient écorché, le coeur mis a nu.Aussi, dans mes tourments, j'ai tout reniéToute forme d'affection j'ai rejetéToujours plus, consolidant et blindantDe bien futiles barrières contre mes sentimentsMais un jour tu es arrivéeUn jour tu m'as la Parole adresséJoyeuse, insouciante, rayonnant la gaietéQuelques mots de toi ont suffi pour m'emporter.Depuis lors, dans mes rêves je te voisJe te chéris, je guette partout le son de ta voix.Tu ignores hélas l'étendue de mes sentimentsMais sache que pour toi j'endurerai mille tourments.Mais laissons la ces futilitésCar aucune de mes paroles ne pourrait traduireA quel point j'aspire a un de tes baisersMais hélas, je n'ose me découvrirAussi, alors que les tourments m'assaillent de nouveauJe n'ai su que faire, sinon écrire ces quelques motsSi mon âme est triste ou que mes nerfs sont a bout,Les tiens jamais ne devront aller de mêmeJ'y veillerai, ton bonheur avant toutEt n'oublie jamais que je t'aime ..
Je n'ai aucun doute sur mes sentiments.
Tant de volupté, de féminitéUne pincée de rire une dose de sourireDes mains bien placées, pour ne rien cacherUn corps se désire et se laisse offrirUn corps délicieux doux et harmonieuxOffert aux délices, la courbe d'une cuisseRegard malicieux se fait astucieuxEt l'œil qui s'immisce aussi loin qu'il puissePlonger en douceur, dans cette chaleurUn corps palpitant qui devient brûlantMe laisse rêveur d'avoir le bonheurD'y prendre mon temps d'en jouir vraimentLe corps tout entier qui vient à vibrerSe laissant un peu comme à petit feuSous l'assaut acier d'un homme emportéProfiter des jeux des plaisirs à deux
Une scène, au milieu une femme
Habillée d'un halo de lumière
Merci du fond du coeur, pour vous plein de bisous
Dans la pénombre de cette nuit
Il est arrivé sans faire de bruit
Je lève les yeux; à travers ma fenêtreJe vois au loin, dans la brumeLe sourire de Dame la luneAlors que les jours passent.Je pense que peut êtreC'est à moi qu'elle s'adresse.Bienveillant, entier ou pincéPlein de joie ou de tristesseElle est le miroir de mes penséesLà elle me regarde avec tendresse.Parfois ironique, même cyniqueDépendant de sa phase cycliqueJe la comprends et il me plaîtLe sourire amusé de Dame la lune.
Longtemps dans la Solitude j'ai erré ...Sans jamais personne a qui pourvoir me confierDures et nombreuses déceptions que j'ai connues,Me laissaient écorché, le coeur mis a nu.Aussi, dans mes tourments, j'ai tout reniéToute forme d'affection j'ai rejetéToujours plus, consolidant et blindantDe bien futiles barrières contre mes sentimentsMais un jour tu es arrivéeUn jour tu m'as la Parole adresséJoyeuse, insouciante, rayonnant la gaietéQuelques mots de toi ont suffi pour m'emporter.Depuis lors, dans mes rêves je te voisJe te chéris, je guette partout le son de ta voix.Tu ignores hélas l'étendue de mes sentimentsMais sache que pour toi j'endurerai mille tourments.Mais laissons la ces futilitésCar aucune de mes paroles ne pourrait traduireA quel point j'aspire a un de tes baisersMais hélas, je n'ose me découvrirAussi, alors que les tourments m'assaillent de nouveauJe n'ai su que faire, sinon écrire ces quelques motsSi mon âme est triste ou que mes nerfs sont a bout,Les tiens jamais ne devront aller de mêmeJ'y veillerai, ton bonheur avant toutEt n'oublie jamais que je t'aime ..
Mon rêve